24.3.06

INTIFADA MADE IN FRANCE

vendredi 24 mars 2006
Du CPE aux CPF : intifada et racisme anti-blancs

NDLR : Le Contrat Nouvel Embauche ne concernait pas directement les centres d'intérêt de France-Echos. Mais devant la chienlit généralisée et l'apparition de racailles relançant l'intifada de novembre 2005 et la chasse aux blancs, vous êtes nombreux à réagir et à témoigner.
Les CPF en action pour le CPE
Hier soir, vols, rackets, lynchages, agressions des manifestants par les bandes ethniques (1)

10 racailles valent mieux que 1000 CRS

Nous l'avions déjà vu lors des dernières manifestations lycéennes : pour étouffer un mouvement estudiantin ou lycéen, quel que soir le prétexte invoqué pour le déclencher, il suffit de s'en prendre aux manifestants, de leur foutre la trouille. Et surtout, il faut que les attaques viennent de ceux qu'il est interdit de désigner, de qualifier, de décrire.

Quelques centaines de noirs habitués au combat de rue et surtout à l'impunité, se croyant invincibles parce que épargnés pour raison d'Etat par la police et surtout la « justice », avaient réprimé à coup de pied, de poings, de cutter, les dernières manifestations lycéennes contre la loi Fillon (qu'ils ont tous oubliée aujourd'hui). Bien que tout le monde ait pu constater le racisme antiblanc, revendiqué par les commandos d'agresseurs eux-mêmes, la pensée officielle s'empressa de le nier, puis de le reconnaître du bout des lèvres, et enfin de l'oublier, ou de faire comme s'il n'existait pas. Cette réalité leur revient en pleine figure aujourd'hui.

Chez les islamogauchistes, non seulement on nia le racisme antiblanc, car contraire à la vision du monde où le blanc, Français de surcroît est mauvais de naissance, et le noir et l'arabe, victime, opprimé, et pacifiste et tolérant de nature, mais encore on traita de fasciste tous ceux qui avaient osé décrire ce qu'ils avaient vu.

Fais moi mal , c'est pour mon bien

Des commandos noirs volant, pillant, agressant des jeunes blancs pourtant plein de sollicitude et de « solidarité » pour eux, et déclarant les agresser parce que blancs. Cela, on pouvait le voir, le subir, mais le dire était impensable !

Reubeu is beautiful, Black is wonderful, and racaille is the must était le credo des moutons menés à l'abattoir. Les petits colonisés reprenaient le langage, les oripeaux (ouesh ziva c'est de la marque) et l'absence de pensée des barbares. Le paradoxe entre ce qui menait étudiants et lycéens à lécher la main qui les frappait, tout en se réclamant « solidaires d'eux » et « tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais, ouais » et l'attitude des hordes de racailles racistes qui leur éclataient la tronche avec application, leur piquaient leurs portables, et les qualifiaient du méprisant terme de bolos (terme racaillesque pour désigner le blanc victime, repris par les petits colonisés eux-mêmes pour se désolidariser de leurs compatriotes) était frappant.

Vous êtes tous des enfants d'immigrés ? Et bien donnez à vos frères ce qu'ils vous demandent !

Les manifs anti CPE marquèrent un nouveau pas dans cette avancée de la racaille pour conquérir le territoire : non seulement ils pouvaient disperser des manifs lycéennes bien mieux que les CRS, sans aucun risque pour eux, mais encore ils pouvaient s'en prendre à ceux qui les soutenaient avec des regards pathétiques de chiens fidèles (ou FIDEL), sans risquer le moindre reproche. Après tout, scandaient-ils tous en 2002, menés dans les rues par leurs enseignants (le terme professeur est devenu impropre) « nous sommes tous des enfants d'immigrés ».

Il est donc logique qu'ils aient reçu des fessées et des confiscations de leurs « parents », ces gentils immigrés et leurs rejetons qui sont venus, à leur façon leur déclarer toute leur gratitude.

En fait, les hordes venus casser du blanc, n'ont fait que répondre à ce slogan : vous êtes tous des enfants d'immigrés ? Et bien, si nous sommes vos parents, nous avons le droit de vous punir. Et ils sont passés à l'acte aussitôt.

La discrimination incomprise

Le comique de la situation réside dans le fait que ce CPE imaginé par Chirac et Villepin avait pour but de renforcer la discrimination positive et de faire embaucher ceux dont aucun employeur du monde ne voudrait. Ceux qui, la casquette à l'envers, vivant d'économies parallèles tout en recevant la charité obligatoire (rebaptisée « solidarité » par le langage officiel), se présentent tels qu'ils sont à l'embauche, l'insulte à la bouche, le coran en bandoulière, le refus des ordres en règle de conduite, la haine de la France et des Français en banderole, et l'incapacité à se lever et respecter un horaire en profession de foi.

Le CPE était fait pour eux, et je me réjouis de son échec. On a tenté d'appâter les employeurs pour leur faire recruter des CPF, comme on l'avait fait avec les zones franches.

Curieusement, ceux qui n'étaient en rien concernés, et auraient dû soutenir cette mesure de discrimination positive, se sont insurgés contre le CPE. Les garanties pour leurs protégés étaient insuffisantes, on pouvait les licencier au bout de 2 ans. Pour toute personne sérieuse connaissant un peu le monde du travail et la population en question, le débat était hors sujet : aucun de ces délicieux bambins que les télés qualifiaient de « djeunes », même 30 ans passés, n'avait jamais travaillé 2 ans.

Ils ont foncé comme un seul mouton à l'appel des muezzins de l'UNEF, FIDEL, LCR, SNES : « tous ensemble, ouais, ouais, wesh » : « solidarité avec les djeunes pauvres victimes des inégalités ». Les djeunes en question commencèrent à rigoler de la naïveté des « bolos » et décidèrent assez vite d'exploiter la situation : il y a des portefeuilles sur pattes qui marchent dans Paris et ne se défendent jamais quand on les agresse. L'information se répandit vite dans les cités, et on décida d'aller tondre les moutons solidaires.

Les loups, ou plutôt chacals, sont entrés dans Paris…pour y faire la loi

La racaille (mot qui avait choqué plus les bien-pensants que le terme de barbares choisis par certains d'entre eux) s'organisa assez vite, les dernières émeutes où elle avait régné en toute impunité lui ayant servi de camp d'entraînement, et se mit en marche vers la capitale. Elle commença par s'en prendre aux CRS place de la Sorbonne, qui eux aussi avaient reçu l'ordre de subir, et cela se passa sans trop de problèmes. En revanche le pourcentage d'arrestations et de violences policières fut bien différent contre ceux qui osaient manifester contre la chienlit.

La racaille passa aussitôt à l'étape suivante : attaquer tous les blancs qui manifestaient …pour eux. Cela dut amuser le commandement policier que de voir cette manif dispersée par ses propres protégés, et ce n'était que justice.

Il y avait donc « police nulle part » et « justice partout ». La justice était rendue ici à sa façon par les victimes de naissance, les protégés et financés par les bonnes dames de la charité trotsko-socialiste.

Vous les soutenez ? Vous voulez des « rencontres de différences » ? Et bien vous les avez !

Ne laissons pas les CRS s'opposer à ces magnifiques morceaux d'amitié entre les peuples, à ces rencontres multiculturelles, à cette amitié entre les peuples. Et que les moutons de la solidarité portent le foulard du Hamas ou le T-Shirt d'Auchan avec la tronche du clown barbu Chié Grèvearabe ne les épargnait pas pour autant.

CPF pour CPE : les manifestants demandent à être protégés de la « rencontre des différences »

Le CPE, sorte de contrat de la dernière chance pour les inintégrables et inemployables, refusé par les fils de bobos qui n'y auraient jamais droit, allait passer grâce à un soutien inattendu.

Les manifs de moutons, solidaires de ceux qui les frappaient, les rackettaient, les méprisaient depuis des années allaient s'arrêter non pas à cause de charges de CRS, mais par l'insécurité que ces mêmes aveugles niaient.

Mieux, les apologistes de l'immigration, les soutiens inconditionnels à la racaille, allaient demander, que dis-je exiger, que les CRS les protègent de ceux…pour qui ils manifestaient.

Il parait que ces gens là, qui ne comprennent pas l'aberration de la situation, font des études….il serait temps qu'ils les arrêtent. Les racailles les y aideront peut-être. Pendant ce temps, l'UNEF réussissait, aidée par les médias à se refaire une virginité, en détournant l'attention du jugement des malfrats de la MNEF, du procès des pillards de la sécurité sociale étudiante par les bourgeois trotskyste du PS.

Que les CPF continuent ainsi à dialoguer avec les anti CPE, dans de sains échanges fraternels entre « fils d'immigrés » qu'ils déclarent tous être. On ne combat le mal que par le mal.

Vive la solidarité internationale entre les peuples, vive les rencontres enrichissantes entre les populations de différentes cultures, vive les contacts rapprochés entre les jeunes victimes de la discrimination, de l'islamophobie et des préjugés.

Multiplions les rencontres : il faut aider les jeunes à se connaître. Et comme le disait madame Michu, concierge et porte parole de la France actuelle « la racisme c'est à cause des préjugés et de la peur de l'autre ».

Hélas, les préjugés, c'est juger avant de connaître. Or là, maintenant, on connaît et on juge après avoir connu. Quant à la peur de l'autre, on ne comprend pas pourquoi les manifestants ont demandé la protection de la police…auraient-ils eu peur de l'autre ?

Vous les vouliez ? Vous les aviez ! Grand bien vous fassent-ils !

Je vous recommande pour votre prochaine manif le slogan

« Français, t'es foutu, la racaille est dans la rue » et « Tous en sang, tous en sang, ouais, ouais, ouais ».

De bien belles images nous attendent : la fête du mouton dans chaque manif. C'est la seule autorisée en France ; la soupe au cochon y est interdite, la tonte et demain l'égorgement du mouton y sont autorisés. Ses bêlements n'y feront rien.

Montmirail
24 mars 2006

(1) http://www.liberation.com/page.php ?Article=369562


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23 mars aux Invalides
"Heurts entre forces de l'ordre et casseurs sur l'esplanade des Invalides" nous disent les media...

Témoignages de deux amis, l'un attaché parlementaire et l'autres photographe, tous les deux sur les lieux, joints par téléphone :

Devant la horde anarcho-banlieusarde les gendarmes ont dû évacuer les bureaux des parlementaires et les ont regroupés sur le toit, barricadant les escaliers.

La racaille a pénétré rue de l'Université, derrière l'Assemblée, la Garde Républicaine a effectué ses premières sommations et se promenait sabre au clair dans l'enceinte de l'assemblée...

On parle aux news de quelques voitures incendiées, mais c'est aussi l'intégralité des voitures stationnées sur l'esplanade qui ont eu leurs vitres brisées (environ 200 voitures).

Une dizaine de magasins ont été intégralement pillés, ainsi qu'un appartement en rez-de-chaussée, habité par une vieille dame, intégralement saccagé et taggué.

Monfort


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Manif CPE : des jeunes racailles font violemment la chasse aux petits bourgeois blancs...
Emission « On refait le Monde de ce jour (RTL) » du 23/03/06

Ecoutez les journalistes ; écoutez CLAUDE ASKOLOVITCH raconter avec ses mots (bruts pour une fois), ce qu'il a vu (de ses yeux vus) lors des manifs anti CPE.

Ecoutez-le se faire reprendre par ses pairs journalistes, alors qu'il dit la Vérité.

Et que les autres refusent d'admettre la Réalité : le gouffre Ethnique et Social qui se creuse.

Cerise sur le gâteau « le service d'ordre de la CNT » s'est fait exploser la Tronche par les Racailles : Vive la Société Multiculturelle qu'ils vantent...

Cliquez ci-dessous puis écoutez l'émission du 23/03/06 (les dix premières minutes)

http://www.rtl.fr/radio/emission.asp ?dicid=144228

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A Paris, violents incidents esplanade des Invalides entre CRS et casseurs
A Paris, Grenoble et dans plusieurs villes françaises, les manifestations anti-CPE sont donc infiltrées par des musulmans, des anarchistes et l'extrême gauche, tentant tous de rallumer les cendres des émeutes de novembre.

Cagoulés, masqués, ils agressent les lycéens pour les dépouiller de leurs téléphones mobiles et de leur argent. Des affrontements ont eu lieu avec les étudiants tentant de les empêcher d'infiltrer les manifestations.

Des combats de rue d'une extrême violence ont enfin eu lieu avec la police, tandis que des voitures étaient incendiées et des magasins pillés en plein coeur de Paris notamment.

La gangrène islamo-gauchiste gagne désormais un grand nombre de cortèges en province : Marseille, Nancy, Strasbourg, Grenoble, tandis qu'à Rennes l'extrême gauche, au grand damne de beaucoup d'étudiants bretons, affichaient des banderolles appelant à la violence urbaine contre le gouvernement.

"Un mix est progressivement en train de s'opérer entre la crise des banlieues et le mouvement anti-CPE. Depuis une semaine des jeunes des banlieues viennent défiler avec nous et organisent les violences" commente un étudiant de Rennes, inquiet de voir la dérive du mouvement anti-CPE entraîné par la radicalisation qu'impulse l'extrême gauche, qui tente de se rapprocher des jeunes musulmans de banlieue.

Après les émeutes de novembre, on assiste donc à la fusion des extrêmes musulmanes et gauchistes, dont le but est clairement la déstabilisation politique du pays. Une fusion permise par le laxisme du gouvernement Villepin-Sarkozy qui a montré aux yeux de tous sa faiblesse en novembre face aux émeutiers, et même qu'il n'avait aucune retenue pour céder au chantage de la violence sociale en cédant, si tôt les émeutes de novembre achevées, à coups de centaines de millions d'Euros et de discrimination positive massive...

La faiblesse des démocrates n'amènera qu'à la radicalisation générale et cette montée des extrêmes ne pourra mener le pays qu'au chaos et à la guerre civile quand les français en auront assez de la lâcheté de leurs gouvernants....

via-resistancia


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Pauvre jeunesse française que tout le monde s'acharne à tromper !
L'affaire du contrat première embauche (CPE) est la pire qui pouvait arriver à la France au moment où elle doit impérativement se réformer pour ne pas sombrer. Voilà une partie de la jeunesse et les syndicats dans la rue … pour rien ! La flexibilité des conditions d'embauche ne peut être un atout qu'en cas de reprise économique. Les employeurs frileux, qui craignent que l'activité ne reste pas soutenue très longtemps, peuvent être encouragés à engager des salariés s'ils ont la possibilité de s'en séparer sans trop de difficultés en cas de rechute. Mais il existe le contrat à durée déterminée (CDD) et l'on ne voit pas ce que le contrat première embauche lui ajoute de déterminant.

En réalité, le CPE est un machin politicien imaginé par Villepin pour se donner une image de réformateur, faire pièce à Sarkozy et obliger l'électorat de droite à le soutenir contre la mobilisation de la gauche. Et il faut dire qu'une bonne partie de la droite a sauté à pieds joints dans le piège. Bien sûr, le blocage des universités est inadmissible, mais faut-il se mobiliser pour défendre un projet qui non seulement n'apporte aucune solution à la crise économique, mais qui aussi tend à faire croire à l'opinion que le gouvernement agit en faveur de l'emploi, alors qu'il le massacre par son immobilisme dans la gestion des dépenses publiques et dans la réforme sociale ?

On ne peut qu'être extrêmement sévère à l'égard du gouvernement. Il ne travaille qu'en vue de l'élection présidentielle et n'a aucun sens de l'intérêt national. Celui-ci exige que les Français s'unissent autour d'un projet de réforme cohérent et crédible. En leur temps et dans leur pays, Ronald Reagan et Margaret Thatcher y étaient parvenus. Il est vrai qu'ils n'étaient, l'un et l'autre, ni issus d'une école d'administration, ni ignorants des réalités que vit le peuple quotidiennement. Il ne se passe pas de jour en France, actuellement, sans que ne paraisse un livre qui nous annonce la faillite de l'Etat et l'imminence d'une révolution. Et pendant ce temps la presse continue de tartiner sur les faits et gestes des marquis poudrés qui nous gouvernent, la radio de recueillir leurs moindres propos, et la télévision de filmer leurs moindres faits et gestes. Etonnez-vous après cela que les Français soient désemparés et ne sachent plus à quel saint se vouer !

Evidemment, les syndicats qui ont battu le pavé le 18 mars dernier sont, avec les politiciens du système, les principaux responsables du désastre français. Ils ne regroupent en effet que des salariés de la fonction publique qui vivent de l'Etat et en rendent le coût insupportable. Et l'on ne peut qu'être plein de commisération pour ceux des jeunes gens et des jeunes filles qui leur ont emboîté le pas : ils ont manifesté avec les privilégiés qui les empêchent de trouver un emploi, puisque les dépenses publiques assassinent les entreprises. Pauvre jeunesse française : tout le monde s'acharne à la tromper et à la malmener. Ont-ils mérité pareil sort, ces beaux jeunes gens et ces belles jeunes filles qui sont l'avenir de notre pays, qui s'expriment si bien, même quand ils se trompent, et dans lesquels chaque adulte peut reconnaître ses enfants ou ses petits-enfants ? Non, bien sûr. Et c'est ce qui est criminel dans l'attitude de ceux qui font semblant de s'affronter aujourd'hui, politiciens gavés d'honneurs et d'argent, syndicalistes ayant perdu tout souvenir du travail, et pour qui les problèmes et le sort de la jeunesse ne sont qu'un enjeu de pouvoir et donc de maintien de leur vie dorée.

Oui, nous avons eu raison de lancer la Révolution bleue. C'est elle qui est dans le vrai : Non à la chienlit, non au trop plein d'impôts et de charges, non aux politiciens incapables ! C'est désormais la seule solution pour éviter la faillite et la guerre civile. Nous avons manifesté trois fois, avec un succès régulièrement accru. La prochaine date est le samedi 22 avril. Nous serons encore plus nombreux. Parce que les Français commencent enfin à comprendre que les politiciens du système, tout comme le système lui-même, n'ont pas d'autre ambition que de se gaver à leurs dépens. Et qu'il est temps de leur dire une fois pour toutes que cela suffit !

Claude Reichman
Porte-parole de la Révolution bleue.


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Tout le monde savait !
Tout le monde savait, sauf Claude Askolovich. Claude Askolovich est journaliste au Nouvel Observateur. Qui se fait vieillot, le pauvre. Tout le monde savait que les jeunes banlieusards allaient tôt ou tard razzier Paris. Ils en rêvaient. Tellement fort qu'au lendemain des attentats les plus terribles de l'Histoire moderne, une note blanche des services des Renseignements généraux tombe sur le bureau de Daniel Vaillant, alors occupant de la place Beauvau : attention, les jeunes musulmans, remplis d'admiration fervente pour l'acte héroïque des affidés d'Usama Bin Lad'n, fomentent des troubles et profiteront de la moindre manifestation pour "tuer du blanc." En bon gauchiste qui a confiance dans ses 35 heures et ses emplois-jeune, le gouvernement de l'époque fait fi de ces avertissements. Revient Jacques Chirac dans les conditions iniques que l'on sait, ce sera finalement Maxime Brunerie qui mettra le feu aux Champs-Elysées. Cela fit "pschitt" et permit au Mrap et aux juges rouges de la XVII° Chambre correctionnelle de Paris de tomber sur tous les internautes épris de liberté. Le temps passe, les voitures brûlent tout à fait normalement. Au rythme d'une centaine par jour. Un niveau acceptable... A mille par jour en novembre dernier, on commence à se poser des questions, on se souvient de cette note blanche laissée dans les poussières des Archives du ministère de l'Intérieur. Mais non, bien vite, on prend langue avec le Conseil Français du Culte Musulman pour se mettre d'accord sur les termes d'un rapport qui établira que ces émeutes avaient un caractère joyeux et spontané, youakaïdi, youkaïda... Le meurtre de sang-froid d'un photographe dans une zone de deal de drogue et celui d'un honnête citoyen venu éteindre sa poubelle qui brûlait n'auront aucun impact sur le susdit rapport. La France reste sourde aux cris de ceux qui lui disent que les banlieues sont à feu et à sang. On trouve même le moyen de monter en quatrième vitesse un nouveau contrat de travail, le CPE, destiné uniquement aux CPF. Pense-t-on qu'ils remercieront le Premier ministre de cette belle initiative qui permettraient à ces jeunes en maraude de penser à autre chose qu'aller piquer des iPods dans le métro, racketter des jeunes filles, voire les violer, tabasser des lycéens, assassiner dans des conditions hallucinantes un Juif dont la presse aux ordres a tû le fait qu'il était amoureux d'une maghrébine musulmanne et pire, qu'elle était amoureuse de lui ! C'en était trop pour les chances qui s'en débarassèrent de la manière qu'on sait. Sans compter évidemment les martyres de Ghofrane et Sohane, longuement relatés dans ces colonnes.

Mais, car il y a un mais, toujours avec les banlieusards arabos-musulmans fauteurs de troubles, il fallait franchir un palier. On n'avait pas encore atteint l'ignoble. On n'avait pas réussi à choquer le bourgeois de gauche, replet et complaisant, toujours en veine d'une excuse bidon à trouver aux chances pour la France. Ce palier, cette étape décisive dans la radicalisation des tensions inter-ethniques et religieuses, semblent avoir été franchies hier soir sous les yeux ébahis de Claude Askolovich qui n'avait jamais dépassé le périphérique et découvraient donc ces jeunes dont il avait tant parlé dans les colonnes de son journal. « La voix, le style, les fringues », tout indiquait qu'ils provenaient de banlieue, ces jeunes. Mon Dieu, qu'en jolis termes ces choses-là sont dites. On évite bien entendu de dire la réalité crûe : la couleur de peau, car soi-même, on ne croit pas encore à ce que l'on vient de voir. Mais on le raconte quand même dans l'émission initialement animée par Christophe Hondelatte, désormais par la papesse du bon goût, la reine du politiquement correct stylé, griffée Canal+, c'est tout dire, j'entends Pascale Clarke. "On refait le monde" fut hier soir un festival d'ahuris bêtas incapables de sortir de leur gangue idéologique qui découvrent soudain que les « loups sont entrés dans Paris ». Au moins Reggiani le chantait-il avec la profondeur qu'on lui connut. Dans ce journal, au détour d'un site internet un peu moins tendancieux que la version papier qui irrite même quand se torche le cul avec, on trouve encore quelques courageux comme Jean-Paul Mari qui va sur le terrain et nous raconte jour après jour ses pérégrinations dans Bagdad la Grande. Non là, on est typiquement dans la beaufitude gauchiste et branchouille téléramesque qui connaît son VII° arrondissement à merveille et qui découvre avec horreur que ses chers anarchistes, eh oui ! se sont mis du côté des forces de maintien de la paix, euh de l'ordre, nous ne sommes quand même pas en guerre, allons, allons... L'Afp, sidérée, nous fait part de l'extrême violence dont furent victimes les sapeurs-pompiers de Paris venus éteindre des véhicules en feu. Des pompiers ! Dans l'imaginaire collectif, le pompier, c'est l'ultime recours, l'ultime secours, celui en qui on place une confiance absolue, celui dont on sait qu'il ne vous trahira pas, qui vient dans un esprit de dernier chevalier des temps modernes. Ben non, on le caillasse, on lui envoie des billes de fer dans la gueule, on projette sur leurs engins d'extinction des poubelles qui brûlent. Rue Fabert ! Imaginez-vous... Rue Fabert ! Pour ceux qui ne connaîtraient pas, cette rue abrite une maison d'édition confidentielle, les éditions Fabert (http://www.fabert.com), mais bien connue de toute la grande bourgeoisie sur les écoles, collèges et lycées privés de France. Tout un symbole pour la France protégée !

Ce jeu mortel aura duré toute la soirée, mais Claude Askolovich devait assurer son cachet, il a donc sagement traversé la Seine pour rejoindre la rue Bayard, blessé dans son amour-propre d'homme de gauche qui découvre l'horreur de la violence brute, Orange Mécanique 2006, comme l'énonce avec beaucoup de justesse Ted Stanger, américain à Paris, qui essaye sans y parvenir de nous réveiller de nous-même.

Dans ce contexte, je me suis bien évidemment abstenu de regarder le reportage d'Envoyé spécial sur les caricatures de Muhammad le prophète bien-aimé. Oui, il aimait les jeunes filles et couper des têtes, et alors. Ils ne sont pas tellement différents, nos petits jeunes d'aujourd'hui. Bien braves, les petits. Ils se défendent comme ils peuvent, hein, ma bonne dame... Y a tellement de racisme aujourd'hui que quoi ! Ils sont bien obligés de réagir un peu. Je peux désormais vous affirmer, sans trop me tromper que les bonnes dames, comme les bonnes âmes gauchisantes, voteront Jean-Marie Le Pen aux deux tours de l'élection présidentielle l'année prochaine, si la mort se retient un peu et que les magouilleurs professionnels de la place Beauvau et de la rue du Faubourg Saint-Honoré ne nous réservent une surprise de dernière minute, à savoir la privation des cinq cents signatures d'élus nécessaires pour se présenter. Tf1 (groupe Bouygues, bétonneur de toutes les grandes mosquées contemporaines à travers le monde), France Télévisions (aux ordres d'un Etat qui institutionnalise le chaos) ne se sont cette fois pas défaussés. Alertés, les internautes des forums du site http://www.hardware.fr dont il serait céans que certains ici fréquentent les rangs pour instiller nos idées, avec doigté et finesse, parce que les modérateurs gauchistes sont très sourcilleux sur la protection bien comprise de l'intégrité morale et physique de nos chances pour la France, regardèrent les journaux télévisés du soir et firent immédiatement part de leur horreur en voyant ces images brutes de décoffrage. En novembre, on avait pris soin de cacher la vérité aux Français. Cette fois, la violence aveugle a parlé. Elle fut plus forte que tous les ukases gouvernementaux. Et puis les Invalides, c'est au coeur de Paris. Pensez, Clichy, Bobigny...

Je me réveille ce matin avec un sale goût dans la bouche. Vox Galliae, LibertyVox, Coranix, France Echos et d'autres encore, tous ces sites prévenaient régulièrement la presse gauchiste. Nous sommes évidemment surveillés de très près par les Renseignements généraux. Personne n'a tenu compte de nos avertissement. Les vierges, qui sont bien plus que soixante-douze..., effarouchées font choeur aujourd'hui pour dénoncer les casseurs. Où étaient-elles, pendant dix ans ? Où étaient ceux qui sont censés faire respecter l'ordre et la paix de nos quartiers ? Que n'a-t-on reconquis ces territoires perdus de la Ripoublique d'où viennent ces hordes de « barbares » (le mot est d'Askolovich !) en y envoyant soit les compagnies républiquaines de sécurité, soit carrément l'armée ? Que ne donne-t-on l'ordre qui décidément ne vient pas, de tirer à balles réelles sur ceux qui s'en prennent aux pompiers ? Il est temps d'agir. Pas de proposer un nouveau contrat de travail car ceux qui veulent travailler travaillent, non, agir, c'est ramener l'ordre et la discipline dans les quartiers de haute insécurité. Agir, c'est couper toute aide sociale. Agir, c'est filmer puis traquer jusque dans les chiottes les terroristes qui s'en prennent à des manifestants innocents (quoi qu'on puisse penser par ailleurs des motivations scandaleuses de ces étudiants qui, pour la plupart, ne seront jamais concernés par le contrat première embauche, vu qu'à 26 ans, ils seront toujours chez leurs parents et dans les études.) Agir, c'est en finir avec le regroupement familial. Agir, c'est en finir avec la polygamie. Agir, c'est en finir avec l'immigration, de quelque nature qu'elle soit. Agir, c'est raser toutes ces barres d'immeubles où s'entassent dans une misère noire les Français de papiers, issus de cette immigration incontrôlée. Agir, c'est construire des zones pavillonaires avec jardin et commerces de proximité et interdiction d'implantation de grandes surfaces marchandes. Car, malgré tout ce que l'on peut dire sur France-Echos, ceux qui s'y expriment, moi le premier, ont un coeur. Nous sommes aussi déchirés de voir dans quel état de déliquescence morale, spirituelle, intellectuelle, culturelle, cultuelle sont rendus ces quartiers de haute insécurité à leurs habitants dont beaucoup réclament toutes ces mesures dont je viens d'esquisser un tableau bien entendu peu exhaustif. Mais ce plan d'ensemble nécessite une prise de conscience réelle du risque d'embrasement général de la part de gens aussi bornés que Claude Askolovich. Est-ce que les violences brutes d'hier soir feront cheminer dans son esprit et celui des autres meneurs d'opinion comme David Dufresne, qui lui, en reste sur son postulat de départ : « les CPF sont victimes de la société, ils ont raison », on peut l'espérer tant les images filmées par des journalistes courageux sont parlantes. Côté politique, ne comptons surtout pas sur Nicolas Sarkozy pour nous tirer de cette situation d'insurrection générale. Ne rien faire, ne rien dire qui puisse nuire à ma candidature, voilà son credo. Le mien, c'est celui de Jésus-Christ notre Seigneur qui chassa avec une infinie cruauté les marchands du Temple. C'est lui qui avait raison. Si on écoutait son message vieux de deux mille ans, peut-être que nous n'en serions pas là.

Jacques de Sainte-Croix, Paris, France, fille aînée de l'Eglise, le vendredi 24 mars de l'An de Grâce 2006 de l'ère chrétienne.

PS : L'émission est écoutable à cette adresse de podcast http://www.rtl.fr/media/podcasting/podcasting_temp_0000424_424511.mp3


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Sarkozy aime les casseurs, pas les manifestants
Le constat est d'évidence, à Paris comme en province, les consignes semblent données à la police : ne pas intervenir contre les casseurs pendant les défilés malgré les agressions perpétrées contre des étudiants et des lycéens par des jeunes musulmans de banlieue n'ayant rien à voir avec les manifestations, auxquelles ils ne s'agrègent que pour dépouiller les jeunes français et créer des émeutes en fin de manif.

De plus en plus de témoignages font état en même temps d'une attitude répressive d'autant plus surprenante vis à vis des manifestants eux même, que dans plusieurs villes de province comme à Paris, ceux ci ont affronté parfois durement les casseurs pour les chasser de leurs cortèges, et s'en sont trouvés chargés par les CRS semblant "protéger" les agitateurs de banlieue !

La question est donc inévitable : le gouvernement a-t-il fait le choix de soutenir de laisser faire la violence - et donc les casseurs - pour tenter de décrédibiliser le mouvement des lycéens et des étudiants en retournant une opinion publique craintive d'un nouveau novembre 2005 ?

Sinon, quelle explication à ce que de nombreux témoignages et constats fait par les étudiants, mais aussi par plusieurs de nos propres adhérents partis observer les faits à Paris et en province et qui confirment bien cette attitude pour le moins troublante de la police et des CRS ?

On le sait, Sarkozy est prêt à tout, même au pire pour le pouvoir, nul ne peut exclure qu'il soit aussi capable de jouer la logique du pire contre les jeunes eux mêmes pour remobiliser une droite à terre en laissant faire de nouvelles émeutes... rêvant peut être d'un juin 68 en sa faveur...

via-resistancia


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Déstabilisation et grèves pas chères
Ce matin [23 mars] au lycée François 1er du Havre, les syndicalistes ont racolé au porte voix. "Par le train pour la manif, aller et retor Paris à 5 euros ! !" C'est la ruée, les lycéens sont pratiquement tous partis. Les enseignants continuent d'oeuvrer à la chute de la maison France. Tout ça sur le dos du contribuable.

doucefrance
http://doulcefrance.blogspot.com/


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L'info selon TF1
Au JT de 20h, TF1 nous montre des hordes de barbares "multi ethniques" qui viennent casser, bruler et voler à l'occasion des manifs anti cpe. A la fin du reportage, on nous montre une arrestation par les CRS... un blanc évidemment !

Ensuite, nous avons droit à un reportage ou le petit JAOUID reçoit une médaille pour avoir sauvé une camarade qui voulait se suicider.

100% TF1

Mark


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Le dégoût et la révolte
Ce soir comme la plupart des français , j'ai regardé le journal télévisé de 20h.

Bien entendu les manifestations contre le C.P.E faisaient la une et bien entendu , comme d'habitude ( hélas ), il y a eu du grabuge

A Paris des casseurs venus droit de nos banlieues se sont invitées a la manifestation . Une nouvelle fois la haine anti-blanche a fais mouche :

- des manifestants ont été dépouillé

- des vitrines explosées

- des voitures incendiées

- des pompiers attaqués

Des casseurs interpellés avaient 3 voir 4 portables sur eux et il est inutile de préciser leur couleur de peau relativement bronzé .

Maintenant un problème ce pose : La condamnation des ces actes ou la répression ?

J'obterais pour la manière forte meme si ce genre d'incindent ne fais qu'additionner des votes d'extreme droite.

Je suis jeune j'ai un peu plus de la majorité , j'ai des jambes vigoureuses , des bras puissants et un mental ainsi qu'une determination sans faille , je ne pense pas etre le seul dans ce cas là mais nous sommes trop dispersés , les mahométans ont Ben Laden , les noirs ont le souvenir de l'esclavage , les blancs n'ont rien .

Ce genre de site est remarquable car il permet a des français ( des vrais pas des profiteurs de RMI ) de se rallier a une meme cause mais je doute de sa puissance face a des immigrés haineux.

Car voila le problème autours de qui pouvons nous , nous la jeunesse , se rallier ? Le Pen ? trop vieux et antisémites . De Villiers ? Ce n'est qu'une pale copie du FN .

Je voterai pour l'un des deux mais j'y crois pas trop

C'est un plaidoyer que je fais pour qu'un leader vienne a notre secours car là est la clé , il nous faut un leader populaire capable de rassembler les français de tous ages , fiers de leur pays , de leur racine judeo chrétienne , celtique pour montrer a ces barbares qu'ils ne feront jamais la loi sur notre terre !

l'après 2007 ? la fierté ou les armes tout simplement

Asterix


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La peur à l'état pur
Boulevard Montparnasse, le 23/03/2006..15 heures

Bonjour Chère amis(e) de France-écho, je m'appel Claudio, je suis enregistré sur votre site, depuis pas mal de temps, je voulais vous communiquer un fait qui m'est arrivé aujourd'hui a 15 heures le 23/mars/ 2006. je sors d'une consultation a l'hôpital, je me dis que ne me trouvant pas trop loin de ma belle sœur ayant un salon de coiffure dans une petite rue près de la tour Montparnasse, je décide d'aller la voir pour une coupe de cheveux,

Donc jusque la pas de problèmes, je gare ma moto sur l'avenue principale, le salon se trouvant dans l'angle du boulevard, je discute avec quelques clientes ambiance chaleureuse, vient mon tour, la coupe fini, je discute avec ma belle-sœur, quand tout d'un coup, je vois des jeunes, genre racaille a 100 pour cent, capuche sur la tète foulards pour certains palestinien ou noir ,au choix, une quinzaines dans la petite rue qui descende vers le boulevard de Montparnasse, je dis à ma belle-sœur, merde dans un quartier comme celui la, il sortes d'où ? ,La elle me dit qu'il y avait encore une manif anti-CPE sur le boulevard ? Je lui réponds que suite au dernière manif il y a eu de la casse, donc de baissé sont rideau de fer au cas où, c'est la, que je pense à ma moto garée sur le boulevard, je prends mon blouson et je vais à l'angle de la rue pour prendre ma moto, car dans les manif il y a toujours de la casse, BON DIEU, je n'avais jamais vu cela, en face de moi, pas des étudiants, ou il n'en paressait pas, les pays musulmans tout ensemble ce son donné la mains, ce n'était pas vrais, je n'en revenais pas il mon entouré, certain on essayait de me volé mes gants et mon casque, ils ont cassé les moto a coté de la mienne Pour des casque dans les coffre arrière (moto), pourtant je ne suis pas pourris, mais la j'ai eu la peur de ma vie, je ne comprenais plus ou est la France,je réussi donc a m'évincé de ce cortèges de voyous et des vrais. Pas des jeunes de merdes, De la Racaille a l'état pur , armé avec des pierres dans les mains et dans des sacs a dos, pour certain sinon d'autre avec des bouteilles de Jb ( whisky), bon donc, j'essaye tant bien que mal de me sortir de cette manif, je réussi a prendre une autre rue déserté et je stationne à coté d'un arrêt de bus, et moteur en marche, je surveille le cortège, qui défile, donc de toute race confondu, et tout d'un coup, la presse n'en parle pas bien-sur des jeunes, bien une trentaine en gros dans le cortège déplie deux drapeaux de 6 mètres sur 3 mètres environ, un avec le croissant rouge et l'autre l'étoile verte du Maghreb sur fond rouge. Si j'avais pu avoir un appareil photo ou une caméra ce qui n'auraient pas pu être possible vu le nombre de racailles qui tenaient les angles des boulevards et des rue avec leur bouteille de whisky, j'ai vu des journalistes a coté de moi avec un appareil photo ne pas faire leurs travaille comme filmé cet événement, pour que les Français voie dans ces manifs, les vrais meneur, aucun français, enfin, j'ai vu des CRS pauvres garçons, confronté à une merde pareille. Je suis dégouté de la vie

,je les plains, mais bon j'ai pu voir des accrochages avec des étudiants, les pauvres ils avançaient et était accroché par des fille de 14 a 17 ans musulmans pour certaines (car il y a aussi des filles collabos) qui les accrochés, pour que d'autres ( de la racailles) les d'épouillent de leur blouson de leur sac de leurs téléphones portable, moi avec ma moto j'observais et de temps en temps je me déplaçais, et bien …je suis déçu de voir en direct ce massacre, de la jeunesse française en direct. Après ils y a eu des échauffourée avec d'autre jeunes des banlieue ,qui ont profité de la manif pour réglé leur comptes , sinon beaucoup d'étudiant on morflé .Voilà de ce pas je suis rentré chez moi , et je me demande encore si il existe encore un coin tranquille en France, ou je ne verrais pas notre jeunesse française partir en fumée. Bien le bonsoir a toute l'équipe de France échos, qui me permet d'être au courants en direct des événements qui ce passe dans notre chère France, pays de mon enfance.

Claudio


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Racisme anti français
Paris, quai metro Frankiln Roosevelt, Jeudi 23 Mars 2006

Ce soir en rentrant chez moi dans l'ouest parisien, je pris le metro comme d'habitude. Il y avait plusieurs jeunes avec des affiches anti CPE. Alors que j'attendais mon train, sur le quai d'en face une bande de jeunes (4 filles et 1 garçon) tous de type magrhebin arrivèrent eux aussi avec des leurs affiches anti CPE collées à leurs vetements. Ces derniers faisaient bcp de bruit dans un soucis de se faire remarquer. Des slogans qui n'avaient rien à voir avec le CPE étaient lancés. Des slogans racistes anti français, anti blancs : "Bande de sales franchouilles vous avez peur de nous hein ? !" ou "Ouais c'est nous les arabes on vous aura tous, on baisera la France"... Personne n'a réagi. Leur train arriva et ils continuerent leur vacarne dans le train devant des gens inertes. C'etait un spectacle effroyable. Il est plus que temps de mettre ces raclures hors de notre pays. J'espere que Philippe de Villiers sera notre reponse en 2007.

France Judeo-Chretienne