14.6.09

“Betselem” en flagrant délit de mensonge criminel


L’organisation “humanitaire” israélienne “Betselem” est l’un des relais, volontaires ou non, des virulentes attaques dont fait l’objet Tsahal à l’étranger, et elle porte une grande responsabilité, avec ses consœurs “Shalom Akhshav”, “Yesh Din”, “Shovrim Shtika” et bien d’autres, de l’image déplorable d’Israël à travers le monde. Sous couvert de défense des Droits de l’Homme, “Betselem” a depuis ses débuts pris partie de manière claire pour la cause palestinienne.


Une révélation vient de montrer le caractère nocif de “Betselem”, et les risques que prennent ce genre d’organisation qui sous couvert d’humanisme deviennent les alliés objectifs des terroristes.


Après l’Opération “Plomb Durci”, “Betselem” s’est fait un point d’honneur à recenser les victimes “civiles et innocentes” des attaques de Tsahal. Parmi elles, un certain Moubarak Hasnaat, habitant de Dir El-Balah’, employé de l’organisation, tué par les tirs d’un hélicoptère israélien, alors “qu’il rentrait chez lui après une journée de travail” selon le Rapport de L’Organisation. Une enquête minutieuse de Tsahal vient de révéler un tout autre aspect des choses, et il faut préciser qu’il ne s’agit pas du premier cas en la matière : Hasnaat n’était pas un simple employé de “Betselem”. Il était…un terroriste recherché !


Il s’avère que ce travailleur humanitaire employé par “Betselem” était mêlé au terrorisme à Gaza depuis son jeune âge. A la 1ère Intifada déjà (1987), il faisait partie des “Comités Populaires” et en 1990 il était co-fondateur des “Faucons du Fatah”. Recherché par Israël, il réussit à fuir et poursuivit ses activités terroristes depuis le Liban, la Syrie, la Tunisie et l’Algérie. De retour à Gaza, il fut arrêté par les Israéliens, jugé et condamné à la prison, mais libéré dans le cadre des Accords d’Oslo et la création de l’Autorité Palestienne. Il fut alors intégré dans l’organigramme de l’AP, auprès de Muhamad Dahlan. Durant le 2e Intifada, il fit partie des Brigades Al-Aqsa (Fatah’). Après l’élimination d’Abed Youssef Kukah, des “Comités Populaires de Résistance”, il fut nommé adjoint du Commandant des “Brigades A-Nasser Salah’ A-Din”. Depuis la prise de contrôle de la Bande de Gaza par le Hamas, il est “employé” du “ministère de l’Intérieur”. Dans le cadre de ces diverses “fonctions”, il a été mêlé à de très nombreuses activités terroristes ayant fait des victimes israéliennes.


Pour tout cela, Moubarak Hasnaat est inscrit par “Betselem” comme “un employé de l’organisation, tué par Tsahal alors qu’il rentrait tranquillement chez lui après une (rude) journée de travail.” Pour “Betselem”, est considéré comme “civil” toute personne qui “au moment de sa mort, n’était pas en train de perpétrer une action terroriste”, peu importe qu’elle l’ait fait la veille, ou qu’elle préparait la mort de civils israéliens pour le lendemain. Autrement dit , “un terroriste en congé”.


Curieuse façon de calculer, lorsque l’on sait que “Betselem” refuse de comptabiliser la mort de soldats israéliens dans les chiffres du terrorisme, lorsqu’ils sont de faction pour garder un village en Judée Samarie, ou même s’ils étaient assis à la terrasse d’un café. Ils portaient l’uniforme, donc ne peuvent être considérées comme des victimes.


Il y a déjà eu par le passé, plusieurs cas dans lesquels des “civils” recensés par “Betselem” s’étaient avérés être des terroristes recherchés par Israël. Aujourd’hui, un cran supplémentaire a été atteint avec un terroriste employé par une organisation juive israélienne dont l’activité est essentiellement dirigée contre son propre pays et ses propres citoyens.


par Shraga Blum
http://www.actu.co.il/2009/06/betselem-en-flagrant-delit-de-mensonge-criminel/